25 mégalopoles produisent à elles seules 52 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre en milieu urbain. Elles sont à la fois le plus grand vecteur et la plus grande victime des effets du réchauffement climatique, ce qui explique pourquoi les villes se sentent aussi concernées. Plus de 10 000 métropoles se sont déjà engagées à réduire leurs émissions de carbone d'ici 2050. 

Mais leur parcours est jalonné de nombreux obstacles de taille. Alors que seulement 50 % de la population urbaine mondiale dispose facilement d'un accès aux transports en commun, 17 personnes meurent chaque minute des conséquences de la pollution atmosphérique. Les perturbations liées à la COVID-19 et les incertitudes émergentes à l'échelle mondiale nous ont rappelé la nécessité de préparer les zones urbaines à un avenir en constante évolution et imprévisible.

Nous avons à cœur de rechercher constamment des méthodes et des technologies pour aider les villes dynamiques à atteindre un juste équilibre entre qualité de vie, santé, décarbonation et résilience climatique.

Les villes ne sont pas près de disparaître et l'avenir de l'humanité est incontestablement promis à une vie urbaine. Mais cela ne concerne pas exclusivement les vastes territoires métropolitains : les petites et moyennes zones urbaines ne cessent de se développer.